mardi 17 juillet 2007

Bal des pompiers !

Pour ceux qui ont une sainte horreur des soirées au Queen, de David Guetta and co il y a... le Bal des Pompiers !

Super ambiance, mélange de toutes les catégories de population et de tous les ages, des enfants aux grands parents, des Parisiens, des banlieusards, une fois par an on oublie un peu le standing et on se lache.

Nous étions métro Saint Paul dans le Marais, et les pompiers avaient vraiment fait le max pour que la soirée soit réussie.


Et le lendemain, Restaurant Libanais : Al Mankal, un des meilleurs restos Libanais de Paris avec une petite terrasse très sympa l'été.
Patron vraiment serviable.
Nous y étions avec Mike, ancien collègue de Smile. Nous sommes ensuite allés voir le feu d'artifice sur le pont de l'Alma.
C'était un pont trop loin ! le feu d'artifice m'a paru bien petit. Dommage nous avions prévu d'aller sur la passerelle Debilly, mais celle ci était fermée.

http://www.fra.cityvox.fr/restaurants_paris/al-mankal_78711/Profil-Lieu

dimanche 8 juillet 2007

Willy Maywald au Musée Carnavalet

Exposition de photos magnifique aujourd'hui.

Willy Maywald, Photographe d'origine Allemande arrive à Paris en 1931 et fréquente très vite le milieu artistique de Montparnasse où il habite. Ses photographies témoignent de « la vie de bohème » du quartier : ateliers de peintres, de sculpteurs et d’artisans, scènes de rues et terrasses de cafés…

Plus tard, il fait connaissance de personnalités comme l’affichiste Cassandre, le coiffeur Antoine ou le physicien Frédéric Joliot-Curie, dont les nombreux portraits, présents dans l’exposition, constituent un témoignage vivant de ces amitiés naissantes.

Au milieu des années 1930, il côtoie le monde de la haute couture où il rencontre Christian Dior chez Robert Piguet, puis Schiaparelli. Son attachement pour la ville de Paris se retrouve aussi dans différents ensembles de vues de la capitale, empreints d’un humanisme à la Willy Ronis et d’un sens subtil de la composition. La construction du Palais de Chaillot pour l’Exposition Universelle de 1937 en est un bel exemple.

Juste après la guerre, il reprend assez vite le travail, d’abord avec les grands couturiers : il est l’un des premiers à descendre dans la rue pour photographier les mannequins en plein cœur de la ville.


Il réalisera aussi de superbes portraits d’artistes maintenant célèbres, comme Fernand Léger, Le Corbusier ou Tamara de Lempicka.

Willy Maywald eu une vie mouvementée en particulier durant la 2e guerre mondiale. Arrivé à Paris quelques années avant, il est interné dans un camp à Blois, comme une grande partie des Allemands vivants en France à cette époque, tous soupconnés d'être des espions.

Pendant ce temps en Allemagne ses parents sont arretés par les Nazis en raison de leurs opinions politiques. Il ne les reverra jamais.

La Taverne de Nesles et Les Editeurs

La Taverne de Nesle est un bar. Pas n'importe quel bar, car on peut y boire une biere nommée l'épi (blonde, brune ou blanche) qui est parait il la bière maison, et qui est excellente. C'était donc Jeudi soir en compagnie de Pierre et Sandrine et c'était très très sympa.
La Taverne de Nesle : 32 rue Dauphine à Paris (près d'Odeon).

Suivi par un dîner aux Editeurs : cuisine pas mauvaise du tout dans un cadre très agréable avec des serveurs décidement très sympas (c'est la deuxième fois que j'y vais avec Pierre). Un tagine de Volailles très bon.
Bon, on passera sur le côté litteraire à deux balles : Selon les concepteurs "Les Editeurs" n'est pas un restaurant mais un "Café Restaurant Litteraire"... Qu'est ce qu'un café restaurant Litteraire ? C'est un restaurant avec des livres sur des étagères sur tous les murs. Bon il faudra leur dire que "Lady di : un destin", ça ne fait pas tellement litteraire quand même...

http://www.lesediteurs.fr
Les Editeurs : 4 Carrefour de l'Odeon.